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Archéologies passées

La fin d'un monde laisse des traces dans le sol et "el Sol" vient écrire son nom dans l'images d'une naïveté passée, lui donnant les couleurs d'un oiseux du Paradis. Esthétique macabre de la perte du sens, du vivant qui était et du respect que nous avons perdu.
Belle nature celle-là même qui nous annonce la fin de par leur calendrier ne parle plus. Leur bouche pleine de terre se moque de notre inconscience. Aurons-nous encore la force d'aimer, de protéger la vie, de prendre soin, de nourrir la terre.
La photographie n'est rien qu'une simple tentative de crier cette douleur, témoigner, sensibiliser, interpeller.
 
Elle peut disparaître et se transformer ; peu importe : un autre miroir viendra nous mettre face à nous mêmes.
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